Le Grand Amour existe-t-il ?

j'aime beaucoup les references que tu as mise the loner

Véro

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Ca y'est, les zamis, le grand Amour vient de naître en direct live ce soir entre Vero et The Loner !
C'est pas beau, ça ?
Faut faire péter une bonne bouteille, là.
Et pas un Vouvray ou un crémant de j'sais pas où, non, non, quelque chose à la mesure de leur Amour !

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the loner a écrit:
Véro

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Guthrie a écrit:Ca y'est, les zamis, le grand Amour vient de naître en direct live ce soir entre Vero et The Loner !
C'est pas beau, ça ?
Faut faire péter une bonne bouteille, là.
Et pas un Vouvray ou un crémant de j'sais pas où, non, non, quelque chose à la mesure de leur Amour !

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mais guthrie, je vous aime tous , je trouve qu'il y a vraiment de belles personnes sur ce forum, sinon je m'en serais repartie vite fait

en lisant les autres temoignages, particulierement celui d'Herodote qui m'a touchee..

vivez pleinement aujourd'hui !!!

Un de mes vieux clients me disait toujours
"ris maintenant, tu ne sais pas la tête que tu feras dans un quart d'heure"

Demain, tout peut s'arrêter, c'est maintenant qu'il faut profiter du bonheur que l'on a, et si par chance on peut encore en profiter après, tant mieux.

Etant ado, ces deux chansons me touchaient lorsque je pensais à l'amour.

brrrrr .... allez, j'avoue, encore aujourd'hui. D'autant qu'après un divorce, j'ai eu des doutes sur une possibilité de redécouvrir le grand amour ...
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Ah ouais, Eloïse, sacré tube !
Chanson imparable, y'a pas à dire.
Merci, yaka.

MDR mais t'as oublié Guthrie, moi la moto, je la pilote, j'ai mon permis gros cube et ma propre moto (oui oui, je suis un peu garçon manquee aussi)

Ah... ok Vero, c'est classe.

Non je ne suis pas une folle de lavitesse, j aime rouler pepere avec titine

Easy Rider... mon rêve américain d'adolescent



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je tenais juste à faire remonter ce topic à la surface, tel un remous cardiaque indefectible resté trop longtemps enfoui.

trop long de "citer" tout ce qui m'a accroché, je me permet d'insister sur les 2 premières pages, particulièrement les écrits d'olive et les échanges de Pimbi et d'Herodote..

il y'a beaucoup de topics qui se renvoient l'un à l'autre (au final je me demande même si l'on pourrait vraiment en trouver qui ne s'inscrivent pas dans une telle logique). ici particulièrement "soirée solo" topic auquel la question de la solitude est venue faire réponse (la soirée n'en fût que moins "solo"). Oui, les démons il y'en a, certains prennent même l'apparence de l'amour, par exemple lorsqu'on répugne à s'aimer ce n'est plus de l'humilité (ou alors C'est la vraie humilité et ce terme ne veut strictement plus rien dire, sauf à décrire un masque parmi les masques), c'est un problème, ou alors, comme Kurt Cobain, on s'en fait tout un art de vivre, on soupçonne allègrement où ça mène (certes au même passage, et encore, il faut bien le "vivre" ce passage). Lui a "réussi" sa mort, bien plus qu'il n'a "réussi sa vie", on peut dire que sa vie était la réalisation de sa mort, ne pas se méprendre! Oui il y'a un risque certain à creuser et toujours creuser... même si on le tente en se disant "jusqu'à ce que ça suffise, jusqu'à ce que ça suffise".. car en faisant cela, on va un peu plus à la rencontre de l'inconnu, celui que tant de fois, sous toutes les coutures à prétextes possibles, on aime (inconsciemment, mais consciemment c'est une peur) à voir (ou plutôt désigner) au dehors. Je sais maintenant qu'il y'a VRAIMENT un risque à entrer en analyse, qu'on peut en chemin littéralement en devenir dingue (toute vérité n'est pas bonne à entendre... surtout celles qu'à la fois on ignore en soi et que seuls nous puissions nous révéler)... mais en fait, "l'accident", "l'incurable", "l'irréversible" tout ça ne prend du sens que parce qu'il y'a la vie, la vie est donc l'ingrédient qui garantit l'accident, le faux pas, sans elle, tous les autres ingrédients qui composent le risque... ne peuvent plus faire consister le Risque. Alors oui puisque de toute façon vivre et risque c'est une seule et même chose, quite à rencontrer "l'âme soeur", je préfère ce chemin que je prend et qui tend à retarder cette rencontre, la modifier même de son retardement, je préfère vivre une seule journée en compagnie de celle avec qui la reconnaissance sera instantanée mutuelle singulière et comme un souvenir instantané de tout ce à quoi je n'ai jamais pensé, que 10000 ans avec un choix de mon coeur qui se serait basé sans que je le sache sur l'absence trop prolongée d'une telle "journée".
Et cette journée inutile de la souhaiter "bonne", mais à tous, OUI!

(tout ça pour dire bonjour quoi)

ishto, connais-tu cette citation de Lao-tseu (célèbre philosophe chinois) :

"Lorsque l'homme a crée le navire il a crée le naufrage !" ? Je trouve qu'elle résume assez bien tout ce que tu nous a exposé, d'une manière un peu plus pessimiste dans la forme peut-être, mais c'est la même vision des choses je pense...

C'est à dire que la vie sans risque, sans remise en cause, n'est pas la vie, et donc il faut profiter de l'amour lorsqu'on le rencontre vraiment. Moi j'ai la chance de vivre un véritable (un grand) amour ! Même si celui-ci s'est mué en une étreinte spirituelle, il demeure présent. Je l'ai habillé de poésie et de philosophie afin qu'il transcende mes jours parfois tourmentés. Vivre un jour du plus bel amour vaudra toujours mieux que vivre un siècle dans l'obscurité des fausses obligeances selon moi ! L'amour est ma philosophie, alors si je n'y croyais pas je ne serais qu'un fantôme errant dans les limbes chimériques d'un éternel mensonge; mais ce n'est pas le cas, donc tout va bien...

Ah, cool !
Une belle page de poto ishto suivie d'une belle réponse de notre ami Olive.
Je plussoie, ishto !!!
J'ai adoré ta façon de nous dire bonjour par le truchement de Kurt Cobain.
A fond d'accord !

Merci Guthrie !

Le grand amour c'est celui qui semble désespéré, mais qui finit par grandir par delà le contexte et les mauvais rêves...

ouuuhhh laala, il sent le "mauvais garçon" l'amour dont tu parles (plaisanterie douteuse)

Humour..
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voilà une recherche très précise!! Elle trouvera plus facilement ses mensurations chez Ikea

Non. Je n'y crois pas. Au grand amour.

Pourquoi Ijja ?

Oh que oui qu'il existe....et je l'ai épousé un jour de juin 2004...
Et depuis 1997 que nous sommes ensemble, ma vie rayonne. Elle est mon soleil, mon souffle, la lumière au milieu des ténèbres, la vie au milieu de la mort, l'espoir au milieu du désespoir...

Bonjour
C'est tellement simple l'amour, qu'il faut compliquer, corrompre la chose !
Aimer: donner, se donner, sans rien attendre en retour !
Comme peu de gens le font ou le font que de temps en temps, alors, comme la majorité a toujours raison, donc l'amour va signifier aussi, surtout autre chose.
Par exemple l'échange, je te donne tu me donnes.
Et si tu me donnes pas autant que je te donne, alors c'est que tu m'aimes pas !!!
La masturbation collective (à 2 ou plus) , peut être accompagnée de beaucoup et bons sentiments, ça peut être de l'amour, mais c'est d'abord un commerce !
Alors il y a le "grand" commerce, la vie en couple fusionnelle; c'est très beau et bien; mais est ce de l'amour !?
Nous le verrons, il y aura confirmation , le jour où la "fusion" aura cessé, l'amour sera t'il là !?
Toujours bienveillant de l'un à l'autre !

L'amour ne se mesure pas (grand, petit), il est ou il n'est pas là.
L'amour sans le sexe est possible, avec le sexe aussi, sans doute un peu plus difficile; mais rien n'est impossible, à celui qui veut.
Et pas besoin de s'appeler "Abbé Pierre" !
Mais, le plus dur, est, sans doute, ne pas faire comme tout le monde .. être dans l'hypocrisie et le besoin .. d'être aimé.

Lovyves ;

j'adore les deux lectures possibles de cette fin de phrase

" et le besoin .. d'être aimé "

Lovyves a écrit:Bonjour
C'est tellement simple l'amour, qu'il faut compliquer, corrompre la chose !
Aimer: donner, se donner, sans rien attendre en retour !
Comme peu de gens le font ou le font que de temps en temps, alors, comme la majorité a toujours raison, donc l'amour va signifier aussi, surtout autre chose.
Par exemple l'échange, je te donne tu me donnes.
Et si tu me donnes pas autant que je te donne, alors c'est que tu m'aimes pas !!!
La masturbation collective (à 2 ou plus) , peut être accompagnée de beaucoup et bons sentiments, ça peut être de l'amour, mais c'est d'abord un commerce !
Alors il y a le "grand" commerce, la vie en couple fusionnelle; c'est très beau et bien; mais est ce de l'amour !?
Nous le verrons, il y aura confirmation , le jour où la "fusion" aura cessé, l'amour sera t'il là !?
Toujours bienveillant de l'un à l'autre !

L'amour ne se mesure pas (grand, petit), il est ou il n'est pas là.
L'amour sans le sexe est possible, avec le sexe aussi, sans doute un peu plus difficile; mais rien n'est impossible, à celui qui veut.
Et pas besoin de s'appeler "Abbé Pierre" !
Mais, le plus dur, est, sans doute, ne pas faire comme tout le monde .. être dans l'hypocrisie et le besoin .. d'être aimé.

Pour te répondre Spirale, je pense certaines choses évoquées dans ce message. Je n'aime pas les contraintes, les dépendances que je pourrais avoir ou que l'on pourrait avoir envers moi. Donc une relation dans la gratuité me séduit, sans trop poser de mots grandiloquents pour moi comme grand amour, amour de ma vie, sur ce que l'on vit hic et nunc justement pour garder cette liberté, mais pas une liberté, je me fiche de l'autre mais liberté, je ne veux pas étouffer ni être étouffée . Ma configuration est ainsi. Donc je sais que des gens ont vécu, vivent des amours épanouissantes, dans la durée aussi mais je pense que cela est rare néanmoins. Et pour ne rien te cacher, cela n'est pas la préoccupation essentielle de ma vie, la quête de "grand amour"; rien de tel, je pense justement, pour être déçue, faire peser des attentes trop lourdes ou étouffantes sur autrui; je n'aimerais pas que l'on me le fasse donc je m'abstiens, autant que faire se peut de le faire. Mais j'aimerais bien vivre une relation épanouissante pour moi, selon mes critères, enrichissante, sensuelle aussi, féconde, un véritable amour si on veut cette terminologie. J'ai toujours été, comment dire, pas vraiment satisfaite de ce que j'avais vécu, après coup, en y repensant et donc je sais ce que je ne veux pas. En un mot, je vis mais les grands mots me semblent souvent démesurés et donc je vis et vois: je ne parle que pour moi et ne juge personne.