Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 22:34, édité 2 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Eh bien ! Juste pour mettre les choses au clair, mon message, en effet sarcastique, avait pour but de te signifier qu'à mon avis le sens de la nuance te fait quelque peu défaut.
En dehors de ça, il ne s'agit ni de remettre en cause ton témoignage, ni de te "chier dessus" ni de te "détruire". Oui tes manières m'agacent, mais je suis navrée des problèmes que tu rencontres et je ne te veux aucun mal. Si la contradiction te met dans des états pareils, alors parlons d'autre chose.
En dehors de ça, il ne s'agit ni de remettre en cause ton témoignage, ni de te "chier dessus" ni de te "détruire". Oui tes manières m'agacent, mais je suis navrée des problèmes que tu rencontres et je ne te veux aucun mal. Si la contradiction te met dans des états pareils, alors parlons d'autre chose.
Hilde- Petit Sage
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Luciole et Philbour aiment ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Tu ne dors jamais Morty? Cela peut aussi en partie expliquer ta véhémence.
Les FM ne peuvent pas, en connaissance de cause, introduire dans une loge un élément fut-il de grande qualité (ce qui est ton cas) qui risque nettement d'être perturbateur.
Ce n'est pas semblable sur le Bandeau,où nous n'avons pas les mêmes obligations.
Ici,me semble t'il, la seule chose qui heurte un peu est le volume de tes messages qui, du coup, laissent peu de place à l'expression d'autrui,(tu es trop talentueuse et certains n'osent pas!).
J'ajouterai mais ce n'est que mon sentiment que tes expériences malheureuses ont nettement rogné ton sens de l'humour (on ne peut tout avoir) et tu prends trop facilement la mouche.
L'humour est ce qui permet de décompresser quand nécessaire et remettre un peu de vie dans le domaine intellectuel pur.
Mais tout cela n'est que mon humble avis.Reste avec nous tu apportes de réelles connaissances.
Les FM ne peuvent pas, en connaissance de cause, introduire dans une loge un élément fut-il de grande qualité (ce qui est ton cas) qui risque nettement d'être perturbateur.
Ce n'est pas semblable sur le Bandeau,où nous n'avons pas les mêmes obligations.
Ici,me semble t'il, la seule chose qui heurte un peu est le volume de tes messages qui, du coup, laissent peu de place à l'expression d'autrui,(tu es trop talentueuse et certains n'osent pas!).
J'ajouterai mais ce n'est que mon sentiment que tes expériences malheureuses ont nettement rogné ton sens de l'humour (on ne peut tout avoir) et tu prends trop facilement la mouche.
L'humour est ce qui permet de décompresser quand nécessaire et remettre un peu de vie dans le domaine intellectuel pur.
Mais tout cela n'est que mon humble avis.Reste avec nous tu apportes de réelles connaissances.
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"Parmi les sons qui peuplent la Nature,court une mélodie secrète....pour celui qui écoute." (Schlegel)
Luciole- Grand Maitre Suprême
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Philbour aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pour moi tu seras toujours libre de t'exprimer sur ce forum car c'est un lieu d'échanges pour personnes qui cherchent à progresser, selon leur niveau et leur rythme.
Mais j'estime qu'il est de notre devoir à tous de se concentrer sur ce qui nous rassemble et ce qui nous fait avancer, et cela inclut de ne pas s'en prendre violemment ou méchamment aux membres.
Comment dois-je prendre les messages "fleuris" en fin de message assortis de dessins à base de licornes ou de tête de mort ?
Je n'ai pas réagi lors de ton précédent post à mon égard, mais je ferai mon possible pour que les échanges sur le forum restent cordiaux, courtois et constructifs.
Je te remercie pour ton attention.
Mais j'estime qu'il est de notre devoir à tous de se concentrer sur ce qui nous rassemble et ce qui nous fait avancer, et cela inclut de ne pas s'en prendre violemment ou méchamment aux membres.
Comment dois-je prendre les messages "fleuris" en fin de message assortis de dessins à base de licornes ou de tête de mort ?
Je n'ai pas réagi lors de ton précédent post à mon égard, mais je ferai mon possible pour que les échanges sur le forum restent cordiaux, courtois et constructifs.
Je te remercie pour ton attention.
chercheur- Nouveau né
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Mortyfaire- Petit Sage
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YNRJ aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Extrêmement difficile de savoir la vérité "vraie" sur le vaccins ,les morts directs du vaccin,complications,tous les bobards qui fusent un peu partout.
Évidemment le gouvernement navigue "à vue" faute de savoir quoi faire,les experts se contredisent,les "lanceurs d'alerte" se régalent ...
Le Pékin de base (moi) est totalement dépassé.
Évidemment le gouvernement navigue "à vue" faute de savoir quoi faire,les experts se contredisent,les "lanceurs d'alerte" se régalent ...
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Luciole- Grand Maitre Suprême
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YNRJ aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Pour le coup, cette crise devrait relancer la consommation d'anti-dépresseurs. A défaut de connaitre la Vérité.
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
C'est à la fois probable et désolant.Un minimum de force de caractère devrait inciter à prendre un instant pour apprécier les belles choses,écouter de la (bonne) musique,discuter sans conflit,aimer,plutôt que de prendre des substances dont chacun sait qu'elles sont délétères surtout si trop fréquentes.
Dernière édition par Luciole le Dim 4 Sep - 17:12, édité 1 fois
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Luciole- Grand Maitre Suprême
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patos, chercheur et YNRJ aiment ce message
medecine
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Bonjour Morty,heureux de te retrouver.Merci de ton apport,c'est en effet documenté et perso je rejoins cette conclusion.
J'espère que tu vas bien et que tu contribueras à garder le Bandeau en activité.
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Luciole- Grand Maitre Suprême
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Mortyfaire aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
hello Mortyfaire !
dommage : la vidéo porte le message " cette vidéo est privée"
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patos- Admin
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Granite aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Hello Mortyfaire
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Granite- Sage Confirmé
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Bonjour Luciole, Patos, Granite et toutes les autres personnes.
La vidéo n'était pas en mode privé le 4 septembre mais elle l'est devenue, je m'en suis rendue compte aujourd'hui.
Alors à la place, cette autre vidéo du 21 avril 2021 :
Dommage que la vidéo de la réalisatrice Michèle Dominici de 2013 intitulée "Dépression, une épidémie mondiale" (ARTE) (vidéo déjà indiquée auparavant) n'est plus du tout disponible gratuitement et que le court extrait ne montre pas l'implication des laboratoires qui sponsorisent (littéralement) certains établissements de la santé psychologique (ou "psychiatrique" - selon ce que chacun va préférer comme mot).
Disponible ici :
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Court extrait :
Je cite (texte de 2020) :
"En l'an 2000, l'Organisation Mondiale de la Santé a officiellement déclaré que la dépression atteignait les proportions d'une épidémie.
Aujourd'hui, 350 millions de personnes seraient touchées dans le monde. On estime qu'une personne sur deux connaîtra au cours de sa vie un épisode dépressif, que près de 20% des arrêts de travail lui sont dus et 75% des suicides.
Selon l'OMS, la dépression sera la deuxième cause d'invalidité mondiale en 2020 dans les pays industrialisés, derrière les maladies cardio-vasculaires.
Cette enquête se propose de poser un regard inédit sur cette maladie en s'intéressant à son aspect collectif. Comment nos sociétés en sont-elles arrivées à fabriquer des hommes tristes ?"
Ici, vous trouverez un autre extrait avec le gros avantage de lire les noms de certains intervenants (vidéo en version anglaise) :
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L'extrait en français, NON similaire au précédent (ne comporte PAS les intervenants) :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ici un texte (2015) et une image :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je cite :
Selon l'OMS, quelque 350 millions de personnes souffrent de dépression dans le monde, soit 5 % de la population. Au centre d'une enquête diffusée par ARTE, cette "épidémie" très médiatisée a fait exploser la consommation d'antidépresseurs. Gros plan en chiffres.
En 2013, dans son annuel Panorama de la santé, l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a indiqué que la consommation d'antidépresseurs au sein des trente-quatre pays membres a été pratiquement multipliée par deux entre 2000 et 2011. Calculée en nombre de cachets par jour pour mille habitants, cette consommation globale recouvre cependant des situations fort contrastées, de l'Islande, championne des psychotropes (106 cachets) aux mauvais clients que constituent la Corée du Sud et le Chili (13 cachets). La France, qui autour des années 2000 détenait le record en la matière, se retrouve dans la moyenne des pays consommateurs, avec 50 cachets (un chiffre toutefois en augmentation), loin derrière l'Australie (89), le Canada (86) ou le Danemark (85).
Anxiété généralisée
La très libérale institution rejoint du reste les conclusions du philosophe libertaire Miguel Benasayag, l'un des interlocuteurs de Michèle Dominici dans son documentaire Dépression, une épidémie mondiale ?, en soulignant l'impact direct de la crise financière de 2007 sur cette explosion. Au Portugal et en Espagne, deux des pays européens les plus touchés, la consommation d’antidépresseurs par habitant a augmenté respectivement de 20 % et de 23 % entre 2007 et 2011.
La Grèce, pourtant membre de l'OCDE, ne figure pas dans ces chiffres, mais un député grec du parti de gauche Syriza, interrogé dans le film, délivre une glaçante statistique sur les suicides - "un toutes les dix-huit heures". Pas de statistiques non plus concernant les États-Unis, également membres de l'organisation, mais selon le chercheur américain Jerome Wakefield, qui témoigne lui aussi dans le documentaire, un quart des femmes âgées de 30 à 50 ans y seraient sous antidépresseurs ! "La hausse, estime l'OCDE, peut aussi s’expliquer par l’extension des indications de certains antidépresseurs à des formes plus légères de dépression, à l’anxiété généralisée ou à la phobie sociale", rejoignant là encore les analyses du film. Culte de la performance et de l'autonomie, individualisme, consumérisme, travail chronophage… : autant de facteurs porteurs d'un mal social commodément érigé en maladie. D'ailleurs, c'est en Allemagne, l'un des pays d'Europe à avoir connu une reprise économique plus rapide, que la consommation d’antidépresseurs a le plus fortement augmenté ces dernières années, avec 46 % de hausse entre 2007 et 2011.
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La vidéo n'était pas en mode privé le 4 septembre mais elle l'est devenue, je m'en suis rendue compte aujourd'hui.
Alors à la place, cette autre vidéo du 21 avril 2021 :
Dommage que la vidéo de la réalisatrice Michèle Dominici de 2013 intitulée "Dépression, une épidémie mondiale" (ARTE) (vidéo déjà indiquée auparavant) n'est plus du tout disponible gratuitement et que le court extrait ne montre pas l'implication des laboratoires qui sponsorisent (littéralement) certains établissements de la santé psychologique (ou "psychiatrique" - selon ce que chacun va préférer comme mot).
Disponible ici :
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Court extrait :
Je cite (texte de 2020) :
"En l'an 2000, l'Organisation Mondiale de la Santé a officiellement déclaré que la dépression atteignait les proportions d'une épidémie.
Aujourd'hui, 350 millions de personnes seraient touchées dans le monde. On estime qu'une personne sur deux connaîtra au cours de sa vie un épisode dépressif, que près de 20% des arrêts de travail lui sont dus et 75% des suicides.
Selon l'OMS, la dépression sera la deuxième cause d'invalidité mondiale en 2020 dans les pays industrialisés, derrière les maladies cardio-vasculaires.
Cette enquête se propose de poser un regard inédit sur cette maladie en s'intéressant à son aspect collectif. Comment nos sociétés en sont-elles arrivées à fabriquer des hommes tristes ?"
Ici, vous trouverez un autre extrait avec le gros avantage de lire les noms de certains intervenants (vidéo en version anglaise) :
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L'extrait en français, NON similaire au précédent (ne comporte PAS les intervenants) :
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Ici un texte (2015) et une image :
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Je cite :
Selon l'OMS, quelque 350 millions de personnes souffrent de dépression dans le monde, soit 5 % de la population. Au centre d'une enquête diffusée par ARTE, cette "épidémie" très médiatisée a fait exploser la consommation d'antidépresseurs. Gros plan en chiffres.
En 2013, dans son annuel Panorama de la santé, l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a indiqué que la consommation d'antidépresseurs au sein des trente-quatre pays membres a été pratiquement multipliée par deux entre 2000 et 2011. Calculée en nombre de cachets par jour pour mille habitants, cette consommation globale recouvre cependant des situations fort contrastées, de l'Islande, championne des psychotropes (106 cachets) aux mauvais clients que constituent la Corée du Sud et le Chili (13 cachets). La France, qui autour des années 2000 détenait le record en la matière, se retrouve dans la moyenne des pays consommateurs, avec 50 cachets (un chiffre toutefois en augmentation), loin derrière l'Australie (89), le Canada (86) ou le Danemark (85).
Anxiété généralisée
La très libérale institution rejoint du reste les conclusions du philosophe libertaire Miguel Benasayag, l'un des interlocuteurs de Michèle Dominici dans son documentaire Dépression, une épidémie mondiale ?, en soulignant l'impact direct de la crise financière de 2007 sur cette explosion. Au Portugal et en Espagne, deux des pays européens les plus touchés, la consommation d’antidépresseurs par habitant a augmenté respectivement de 20 % et de 23 % entre 2007 et 2011.
La Grèce, pourtant membre de l'OCDE, ne figure pas dans ces chiffres, mais un député grec du parti de gauche Syriza, interrogé dans le film, délivre une glaçante statistique sur les suicides - "un toutes les dix-huit heures". Pas de statistiques non plus concernant les États-Unis, également membres de l'organisation, mais selon le chercheur américain Jerome Wakefield, qui témoigne lui aussi dans le documentaire, un quart des femmes âgées de 30 à 50 ans y seraient sous antidépresseurs ! "La hausse, estime l'OCDE, peut aussi s’expliquer par l’extension des indications de certains antidépresseurs à des formes plus légères de dépression, à l’anxiété généralisée ou à la phobie sociale", rejoignant là encore les analyses du film. Culte de la performance et de l'autonomie, individualisme, consumérisme, travail chronophage… : autant de facteurs porteurs d'un mal social commodément érigé en maladie. D'ailleurs, c'est en Allemagne, l'un des pays d'Europe à avoir connu une reprise économique plus rapide, que la consommation d’antidépresseurs a le plus fortement augmenté ces dernières années, avec 46 % de hausse entre 2007 et 2011.
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Bonjour,
Une de mes relations, psychiatre psychanalyste, m'avait dit il y a deux ou trois ans, qu'en France les directives du ministère de la santé étaient de faire en sorte de privilégier les thérapies chimiques et comportementales aux thérapies psychanalytiques car elles étaient moins chères en coût de traitement.
En gros, on ne cherche plus à chercher la cause du trouble pour le supprimer, on cherche à rendre le trouble vivable pour le patient et la société.
Cette approche m'a par la suite été confirmée par d'autres psychiatres qu'ils soient psychanalystes ou TCC...
C'est l'approche rentabilité et rapidité...
Une de mes relations, psychiatre psychanalyste, m'avait dit il y a deux ou trois ans, qu'en France les directives du ministère de la santé étaient de faire en sorte de privilégier les thérapies chimiques et comportementales aux thérapies psychanalytiques car elles étaient moins chères en coût de traitement.
En gros, on ne cherche plus à chercher la cause du trouble pour le supprimer, on cherche à rendre le trouble vivable pour le patient et la société.
Cette approche m'a par la suite été confirmée par d'autres psychiatres qu'ils soient psychanalystes ou TCC...
C'est l'approche rentabilité et rapidité...
Granite- Sage Confirmé
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Bonjour,
Pour ma part,
- un psychiatre psychanalyste ne pourrait pas supprimer la cause d'un trouble puisque je considère que les idées de Freud (et ses compères) sont du charlatanisme.
- les "thérapies" chimiques sont des poisons (et plus encore).
Seules les thérapies comportementales pourraient, au conditionnel, soulager un peu quelqu'un, mais tout dépend à la fois du praticien (un psychologue ?) et de la personne en état de souffrance (et pourquoi, puisque plusieurs raisons peuvent plonger quelqu'un dans un état dépressif)...
La rentabilité, c'est uniquement pour les laboratoires, mais pas pour la sécurité sociale car le remboursement des visites et des "médicaments", ça coute cher !
Il y a déjà des théories très sérieuses à propos des microbiotes pauvres à cause :
- des perturbateurs endocriniens,
- des additifs dans les produits alimentaires industriels (ultra transformés) rendant les parois intestinales poreuses,
- des antibiotiques que nous prenons consciemment, qui sont dans l'eau du robinet ou dans notre alimentation,
- des pesticides,
- de la mal bouffe (manque de fibres, trop de sucre, trop de gras, ....)
Sans compter que les gens doivent être compétitifs et qu'on se compare à des modèles cinématographiques sur papier glacé..... (liste non exhaustive).
Mais l'humain préfère l'idée de prendre un remède miracle plutôt que de faire un effort d'alimentation ou autre et soigner son système immunitaire.
Souvent, l'humain confond son malheur et sa tristesse avec un état dépressif.
Pour ma part,
- un psychiatre psychanalyste ne pourrait pas supprimer la cause d'un trouble puisque je considère que les idées de Freud (et ses compères) sont du charlatanisme.
- les "thérapies" chimiques sont des poisons (et plus encore).
Seules les thérapies comportementales pourraient, au conditionnel, soulager un peu quelqu'un, mais tout dépend à la fois du praticien (un psychologue ?) et de la personne en état de souffrance (et pourquoi, puisque plusieurs raisons peuvent plonger quelqu'un dans un état dépressif)...
La rentabilité, c'est uniquement pour les laboratoires, mais pas pour la sécurité sociale car le remboursement des visites et des "médicaments", ça coute cher !
Il y a déjà des théories très sérieuses à propos des microbiotes pauvres à cause :
- des perturbateurs endocriniens,
- des additifs dans les produits alimentaires industriels (ultra transformés) rendant les parois intestinales poreuses,
- des antibiotiques que nous prenons consciemment, qui sont dans l'eau du robinet ou dans notre alimentation,
- des pesticides,
- de la mal bouffe (manque de fibres, trop de sucre, trop de gras, ....)
Sans compter que les gens doivent être compétitifs et qu'on se compare à des modèles cinématographiques sur papier glacé..... (liste non exhaustive).
Mais l'humain préfère l'idée de prendre un remède miracle plutôt que de faire un effort d'alimentation ou autre et soigner son système immunitaire.
Souvent, l'humain confond son malheur et sa tristesse avec un état dépressif.
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
...et, en plus, les photos pour papier glacé sont retouchées par des professionnels !
patos- Admin
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Homéopathie, antidépresseurs : faut-il s'inquiéter ? #cdanslair 08.09.2018
En proie à une vive polémique, l’homéopathie sera-t-elle encore reconnue comme une pratique médicale ? La déclaration de guerre a été lancée en mars dernier par une tribune publiée dans le Figaro : 124 professionnels de santé ont dénoncé une thérapie alternative "nourrie par des charlatans" et "dangereuse", puisqu’elle conduirait à une surmédicalisation des patients, aveuglés par son effet placebo.
Ces médecins ont également exigé que les petits granules ne soient plus remboursés par l’assurance maladie. En attendant le rapport de la Haute autorité de santé sur l’efficacité de l’homéopathie, prévu pour février 2019, la faculté de médecine de Lille a décidé de suspendre son diplôme d'homéopathie. Une initiative suivie par la faculté des sciences d'Angers, tandis que la question fait débat chez les doyens des facultés de médecine et de pharmacie.
Alors que l’utilité de l’homéopathie est remise en question, celle des antidépresseurs est également contestée.
"Dans le livre Dépressions, antidépresseurs : le guide", les professeurs Philippe Even et Bernard Debré dénoncent une "psychiatrisation massive de la population", avec des prescriptions généralisées et à outrance. Ce traitement jugé "inutile" profiterait d’abord aux industries pharmaceutiques qui auraient fait de la dépression le "marché du siècle". Une accusation qui fait bondir les psychiatres, convaincus de l’efficacité de ces médicaments dans le traitement de maladies souvent complexes.
En novembre 2017, la Haute autorité de santé avait déjà souligné un "mauvais usage" des antidépresseurs selon le cas des patients.
Depuis quelques mois, la rougeole est revenue en force en Europe : 41 000 enfants et adultes ont été touchés par cette maladie virale, potentiellement mortelle, sur la période janvier-juin 2018. Pour lutter contre cette épidémie, l'Organisation mondiale de la Santé a rappelé l’importance de la vaccination qui reste encore insuffisante. Les Français sont en effet très méfiants vis-à-vis des vaccins. Selon le bulletin épidémiologique de Santé publique France publié en août, 88% des personnes touchées par la rougeole n’étaient pas vaccinées. Pour les médecins et le gouvernement, il est urgent d’alerter la population et de déconstruire les idées reçues pour renforcer la couverture vaccinale.
L’homéopathie est-elle une fausse thérapie ?
Les Français consomment-ils trop d’antidépresseurs ?
D’où vient cette défiance vis-à-vis des vaccins ?
Invités : Frédéric SALDMANN – Médecin, auteur de Votre santé sans risque
Jean-Paul HAMON - Médecin généraliste, président de la Fédération des médecins de France
Gérard de POUVOURVILLE - Économiste de la santé
Mélanie GOMEZ - Journaliste, spécialiste des questions de santé Europe 1
Homéopathie, antidépresseurs : faut-il s'inquiéter ? #cdanslair 08.09.2018
En proie à une vive polémique, l’homéopathie sera-t-elle encore reconnue comme une pratique médicale ? La déclaration de guerre a été lancée en mars dernier par une tribune publiée dans le Figaro : 124 professionnels de santé ont dénoncé une thérapie alternative "nourrie par des charlatans" et "dangereuse", puisqu’elle conduirait à une surmédicalisation des patients, aveuglés par son effet placebo.
Ces médecins ont également exigé que les petits granules ne soient plus remboursés par l’assurance maladie. En attendant le rapport de la Haute autorité de santé sur l’efficacité de l’homéopathie, prévu pour février 2019, la faculté de médecine de Lille a décidé de suspendre son diplôme d'homéopathie. Une initiative suivie par la faculté des sciences d'Angers, tandis que la question fait débat chez les doyens des facultés de médecine et de pharmacie.
Alors que l’utilité de l’homéopathie est remise en question, celle des antidépresseurs est également contestée.
"Dans le livre Dépressions, antidépresseurs : le guide", les professeurs Philippe Even et Bernard Debré dénoncent une "psychiatrisation massive de la population", avec des prescriptions généralisées et à outrance. Ce traitement jugé "inutile" profiterait d’abord aux industries pharmaceutiques qui auraient fait de la dépression le "marché du siècle". Une accusation qui fait bondir les psychiatres, convaincus de l’efficacité de ces médicaments dans le traitement de maladies souvent complexes.
En novembre 2017, la Haute autorité de santé avait déjà souligné un "mauvais usage" des antidépresseurs selon le cas des patients.
Depuis quelques mois, la rougeole est revenue en force en Europe : 41 000 enfants et adultes ont été touchés par cette maladie virale, potentiellement mortelle, sur la période janvier-juin 2018. Pour lutter contre cette épidémie, l'Organisation mondiale de la Santé a rappelé l’importance de la vaccination qui reste encore insuffisante. Les Français sont en effet très méfiants vis-à-vis des vaccins. Selon le bulletin épidémiologique de Santé publique France publié en août, 88% des personnes touchées par la rougeole n’étaient pas vaccinées. Pour les médecins et le gouvernement, il est urgent d’alerter la population et de déconstruire les idées reçues pour renforcer la couverture vaccinale.
L’homéopathie est-elle une fausse thérapie ?
Les Français consomment-ils trop d’antidépresseurs ?
D’où vient cette défiance vis-à-vis des vaccins ?
Invités : Frédéric SALDMANN – Médecin, auteur de Votre santé sans risque
Jean-Paul HAMON - Médecin généraliste, président de la Fédération des médecins de France
Gérard de POUVOURVILLE - Économiste de la santé
Mélanie GOMEZ - Journaliste, spécialiste des questions de santé Europe 1
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Les antidépresseurs sont des drogues (c'est pourquoi il faut faire un sevrage malgré le déni de certains psychiatres) et voici l'historique des antidépresseurs (vidéo 1, en haut) présenté par un psychiatre, certainement persuadé du bien-fondé de ces médicaments, souvent découverts "par hasard" et dont personne ne connaissait les mécanismes sur le cerveau mais dont les effets étaient déduits d'après un simple ressenti visuel et non par des tests scientifiques, comme beaucoup de personnes l'imaginent. Il s'agit le plus souvent de médicaments ratés qui sont finalement recyclés en "antidépresseurs" ou coupe-faim...
De toutes façons, le temps de découvrir que c'était une imposture, il aura été "révolutionnaire" le temps de sa mise sur le marché pendant le temps de son brevet, soit 20 ans, quand il n'est pas contesté avant.
"Des hypothèses plus ou moins solides", dit-il, et voir à partir de 8:20..., comment chaque fois il a été vendu "un manque de..." sans la moindre preuve, en fonction de la molécule à la mode qu'on voulait vendre.
Relire aussi la revue prescrire des médicaments à écarter 2022.
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Rappelons les effets d'une drogue sur le cerveau (vidéo 2, au milieu) pour mieux comprendre de quoi il s'agit avec les "recaptures" (voir à 3:30) et notamment le mécanisme de dépendance (vidéo 3, en bas) et comment le cerveau est modifié après l'ingérence de drogues ; autant dire qu'il devient difficile d'être heureux juste après avoir été un rat de laboratoire soumis à diverses drogues vendues comme une "thérapie" et qu'à l'arrêt de ces substances, il sera d'autant plus facile de vous poser le diagnostic "état dépressif chronique" après des usages fréquents (en fonction de la sensibilité de chacun) ou de faire croire à une "rechute".
L'idée, c'est que vous les preniez toute la vie (fort effet placebo et puissant marketing), même si ça ne vous soignera jamais (plutôt l'inverse).
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Cadeau
Début à 5:45
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Mortyfaire- Petit Sage
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
+ Article 24 juillet 2022, Journal de Montréal :
"Triste recul de la science: 15 ans de recherches sur l'Alzheimer bons pour la poubelle
Une fraude a orienté les chercheurs dans la mauvaise direction pendant plus d’une décennie"
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+ Article du 20 juillet 2022, en anglais, NewScientist :
"No link between depression and serotonin, finds major analysis
A review of 17 previous studies finds no evidence for a link between depression and low serotonin levels, which SSRI antidepressants focus on – though not everyone is convinced by the findings"
Traduction :
"Aucun lien entre la dépression et la sérotonine, selon une analyse majeure
Un examen de 17 études précédentes ne trouve aucune preuve d'un lien entre la dépression et les faibles niveaux de sérotonine, sur lesquels les antidépresseurs ISRS se concentrent - bien que tout le monde ne soit pas convaincu par les résultats"
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+ Article 06 avril 2022, CitizenSide :
"Eve, la "robot scientifique", découvre que moins d'un tiers des résultats scientifiques ont reproductibles."
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+ Article du 02 Juin 2022, en anglais, TrialsJournal :
"Tolerating bad health research: the continuing scandal"
Traduction :
"Tolérer la mauvaise recherche en santé : le scandale persistant"
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Mortyfaire- Petit Sage
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