Quoi sommes-nous ?

Escargot, oui, on l'appelle aussi de cette façon dans l'est de la France. Je crois même que certaines personnes, du côté de l'ancienne Lorraine annexée en 1870, utilise le mot allemand, Schneck.

Les helvètes alémaniques aussi

J'en achète pour le mien, d'helvète ( francophone, lui!!!)

Ne vous avisez pas, chez nous, de demander un escargot à un boulanger...

Et dans le sud ouest, point de pain au chocolat, mais des chocolatines..

Eh oui, chocolatines ! Chaque région a son lexique personnel.

J'ai faim !

T'as faim ? Tiens, voilà un pain aux raisins !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

xD, hum le bel escargot

Quoi sommes nous ?

Cela m'évoque l'approche du poète...

Qui se pose sans cesse la question, mais d'une manière bien allégorique, voire très surréaliste. Il m'arrive de méditer sur moi-même, afin d'en sonder la substance. Plus jeune je me demandais : "Qui suis-je ?", mais il est vrai que l'on pourrait tout aussi bien se demander : "Que suis-je ?"...

Alors l'instinct fondamental du poète refait surface, et il se sent obligé de transcender toutes méditations en s'imposant des mots; des mots qui viennent du plus profond de lui-même, hors du champ rationnel de la conscience pure. Et cela donne un feu d'artifices de vers, une liesse spirituelle et onirique dont on ne se lasse jamais ! A mon avis, là où le penseur estime, le poète sait ! Bien sûr, il ne sait pas plus que le penseur, mais il a la conviction de "savoir". De savoir que la seule chose qu'il y a à savoir se trouve dans l'âme, et qu'un simple élan d'inspiration peut lui faire prendre forme...

Bien sûr je jongle avec des mots ! L'art n'explique rien, il rend compte des sentiments, des émotions... Mais il est indispensable. Je crois que nous n'aurons jamais la réponse, et nous ne saurons jamais qui nous sommes vraiment. Ceci dit, nous pouvons peut-être savoir ce que nous voulons être ? N'est-ce pas là la principale préoccupation ?

La question est grave, mais ce n'est pas une raison pour bégayer, Olive !

Bon, d'accord... Je remonte sur ma demi-lune !

Olive tu a éditer deu foua le maime mésaje ! alors koua pourkoua tu fé pas atanssion hin ?

Oui ! Diantre c'est vrai ! Mais je ne sais pas comment le supprimer...

A l'aide !

Fait

Merci cher ami !

xxxxxxx

xxxxxxxxx

"Deviens ce que tu es "
Niezsche.

Absolument d'accord ! L'être finit par prendre la forme de ses objectifs...

Par exemple moi je veux être un homme qui rend les autres heureux, et le devenir moi même ! C'est ambitieux, mais c'est moi.

Tu parles d'une sorte d'instrospection le murmu ? Une quête personnelle ? J'ai un peu de mal à saisir...

Il me semble que c'est un peu ce que j'ai voulu exprimer non ? Non, moi je n'aurai pas besoin de lacher prise pour aller plus loin. Si un jour je finis par atteindre mon objectif spirituel, à savoir le bonheur intérieur, je n'aurais plus besoin de lacher prise puisque je l'aurais déjà fait ! Il faut que tu tâches de m'expliquer ce que tu as voulu dire car j'avoue que je ne saisis pas !

Pour répondre à la question "Qui sommes nous" il faut se placer sur le bon angle. Cette question n'a pas de réponse dans le présent et l'absolu. C'est comme définir la trajectoire d'une balle à partir d'une image fixe.

"Qui sommes nous", nous sommes notre histoire, une histoire qui s'inscrit dans d'autres histoires. Pour comprendre l'autre le moyen le plus EFFICACE est de connaître sont histoire. Reconnaitre son histoire, celle de sa famille, de sa société est déjà un bon moyen pour accéder à son identité.

Si le murmu, j'ai saisi !

Et je pense que tu as raison...

Amitiés à toi,

Quoi sommes nous ? et non pas : qui sommes nous ?

Je suis un organisme parlant, donc pensant

De nature animale j'assimile, je me reproduis ( je me suis reproduit ) et je suis mortel.