Questionnement philosophique et initiatique de Jean d 'Encausse

La connaissance peut-elle transpercer la frontière du sang et est-elle capable de se situer, comme dans un présent éternel, là où a été l'homme avant la naissance et là où il sera après sa mort? C'est la grande question à laquelle, selon Jean d'Encausse (« La philosophie de l'éveil », 1978), se sont heurtées depuis toujours les écoles philosophiques et initiatiques

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Vaste question.
Pose-t-elle la question de la "réincarnation", ou les diverses interprétations de ce questionnement ?

Ce qui est en sympa c'est de se demander qu'est ce qui en nous est de nature non née.

"Je ne suis ni mort ni né car je suis non né" (y a un copyright là dessus :p )

Merci pour vos commentaires , je n'en sais pas encore assez sur ce philosophe peu connu pour pouvoir vous répondre valablement pour l'instant,mais il me semble très "pointu" dans son approche des questionnements fondamentaux , notamment sur l 'univers de la pensée . Concernant la réincarnation je n'ai pas pour l'instant d'information sur ce qu'il en pense . Il est exact que cette notion est présente dans beaucoup de cultures et de traditions religieuses et ésotériques . Évidemment je ne vais pas vous dire :oui la réincarnation existe ou au contraire : non elle n'existe pas , il m'est évidemment impossible d'affirmer une telle chose dans un sens ou dans un autre . Il est vrai qu'en Asie cette notion est quasiment intégrée et reconnue comme une évidence dont il n'y a même pas matière à discuter . La plupart des sages indiens ,tibétains passés et présents la reconnaissent ainsi :comme un fait . Des cas troublants de remémorations de vies passés existent aussi . Mais il me semble que dans la pensée métaphysique des sages d' Asie , ce fait semble être secondaire , car l'important ce ne sont pas ces corps biologiques se succédant mais plutôt la qualité et la profondeur de la pensée qui s'élabore en chacun de ces corps passants comme un éclair dans le bref espace-temps qui leur est imparti .