Daech brûle 2.000 livres et manuscrits et détruit des œuvres datant de plus de 7.000 ans

Oui, face à tant d'horreurs, me vient souvent la même pensée, bien qu'étant totalement contre toutes les formes de violence, la guerre, etc, évidemment et comme presque tout le monde, à la base.
Oui, mais... Le truc ce sont les civils... Il y'en a auprès d'eux. Qui les subissent en 1ere ligne d'ailleurs.
Ils s'en servent comme bouclier humain.

Oui... mais je me demande parfois si la mort ne serait pas une délivrance pour eux... Cependant en tant qu'humaniste je ne peux me permettre d'oublier ces innocents qui souffrent de la violence que leur font subir ces personnes, et quelle souffrance encore cela engendrerait de tout raser d'un seul coup de bombe sur la tête... Le dialogue alors pourtant bien inutile face à tout cela.

Sun Tzu disait : "Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril. Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite. Qui ne connaît ni l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles."

Difficile alors de connaitre et comprendre l'autre quand il fait preuve d'autant de sauvagerie. C'est un match nul qui nous attend...

J'aime bien aussi ce principe de Sun Tzu : "Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre." Mais là je ne pense pas que cela puisse s'appliquer... Hélas...

LordToms a écrit: J'aime bien aussi ce principe de Sun Tzu : "Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre."

C'est ce que je pense et c'est ce que j'allais répondre à Miss Anthropy : Que faire ? Les regarder s'épuiser bêtement à détruire. Passer outre les pertes subies.

LordToms a écrit:
Sun Tzu disait : "Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril. Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite. Qui ne connaît ni l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles."

Difficile alors de connaitre et comprendre l'autre quand il fait preuve d'autant de sauvagerie. C'est un match nul qui nous attend...

Oui, comprendre l'autre a malheureusement ses limites et on en fait la cuisante expérience devant la barbarie à l'état pur. dans ce cas l'on commence à nommer l'autre comme un non-humain : il devient "le monstre", "l'animal". On signifie par là qu'il nous est justement tout bonnement impossible de le comprendre, qu'on ne peut pas dialoguer, qu'on n'appartient pas au même "règne". Evidemment c'est une réaction par frustration de voir cette possibilité de sialogue et de communication, de compréhension, réduite à néant...

Mais, c'est justement ce qu'ils semblent être, des "non-humains".
Pourquoi devrions-nous nous embarrasser de scrupules devant une telle inhumanité ?
C'est justement le point faible de l'occident, celui qui est en train de causer sa perte, le LAXISME.
Dans certains cas, il faut pouvoir trancher dans le vif, impitoyablement, avant que l'hideux ne profite de notre faiblesse.
Nietzsche, reviens !

Laelle a écrit:

LordToms a écrit: J'aime bien aussi ce principe de Sun Tzu : "Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre."

C'est ce que je pense et c'est ce que j'allais répondre à Miss Anthropy : Que faire ? Les regarder s'épuiser bêtement à détruire. Passer outre les pertes subies.

Le problème c'est que ces gens là ne s'épuisent pas, bien au contraire, le dragon continue à grandir, plus il dévore et plus il a faim. Il finira par vouloir tout engloutir. En attendant les gens souffrent de leur violence, et aucun héros ne semble vouloir s'opposer à se dragon insatiable de violence et de destruction.

Bref... Il est difficile de juger de ce qu'il est bon de faire en ces circonstances.

MissAnthropy a écrit:Oui, comprendre l'autre a malheureusement ses limites et on en fait la cuisante expérience devant la barbarie à l'état pur. dans ce cas l'on commence à nommer l'autre comme un non-humain : il devient "le monstre", "l'animal". On signifie par là qu'il nous est justement tout bonnement impossible de le comprendre, qu'on ne peut pas dialoguer, qu'on n'appartient pas au même "règne". Evidemment c'est une réaction par frustration de voir cette possibilité de dialogue et de communication, de compréhension, réduite à néant...

Il ne reste hélas qu'aux hommes la violence quand le dialogue n'a plus court. C'est connu... L'Homme répète toujours les mêmes erreurs...

Oui bon, abattez-les.

Au niveau où ils en sont il n'y a pas grand chose à faire selon moi, le fanatisme et l'ignorance, la colère et la haine, sont bien installés en eux... Donc vient un moment où c'est une question de survie, on ne peut tolérer de telles attitudes sans agir.

Oui

Et

Laelle a écrit:Oui bon, abattez-les.

Je peux aussi m'en charger.