L’islamisme radical comment faire face?

Voici un post que j'ai mis sur le blog ce matin.

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Je crains qu'à cause de quelque c* on se retrouve le cul entre deux chaises : interdire des choses à tous au nom de leurs débordements (par exemple certains sortaient récemment l'interdiction de la kipa, du voil, de couvre-chefs religieux) - ou alors devoir empiéter sur les libertés fondamentales (article 18 de la déclaration universelle des droits de l'homme, article 9 de la convention européenne des droits de l'homme)
C'est d'ailleurs un problème de réflexion que j'ai ... avec plein de questions

Un très bon sujet en tout cas - il faut que j'écoute ça, j'espère que ça me donnera des pistes

Intéressante cette émission !

J'ai notamment bien aimé la prof qui a de sacré cojones pour réagir de façon construite et équilibrée sur l'actualité en cours (la "vidéo"). C'est un bon exemple allant dans le sens de l'introduction de la "laïcité" que prévoyait Peillon (couplé à l'histoire, et à l'histoire des religions donc).
Je pense qu'une grosse partie de la solution se trouve dans le partage du savoir, de l'histoire et de l'éducation.

Et j'ai eu confirmation de mon souvenir sur l'origine du mot assassin (hachichiens, fumeurs de hachich, jeunes embrigadés en Iran il y a un millénaire pour executer de basses oeuvres sous l'influence de drogue et à qui l'on promettait comme récompense des vierges au paradis)

Donc, ce que nous connaissons est bel et bien le fruit amer (très amer) d'un endoctrinement des plus basiques : un lavage de cerveau. Sauf que de nos jours et dans notre société, cela se passe d'une autre manière, je ne sais, sans doute à cause de la situation sociale précaire, des facteurs psychologiques qui ajoutent de la détresse là où il y en a déjà beaucoup. J'ai trouvé les propos de l'anthropologue fort intéressants, ils résument bien la situation. Encore une fois nous nous apercevons qu'une grande partie de la solution se situe dans les sphères éducatives, pas seulement mais dans une large mesure.

Comment faire pour qu'il y a ait plus d'humanité et de dialogues ? Comment faire pour que les médias et les endoctrinements de toutes sortes ne puissent rivaliser d'efficacité pour détruire un jeune (car il s'agit bien d'une destruction) ? La parole doit intervenir très tôt je pense, d'une manière préventive. Le résultat étant de donner le pouvoir au jeune de choisir, et non de se sentir obligé d'intégrer une faction violente pour des raisons psychologiques. Choisir cela signifie être libre à la base, et non manipulé par je ne sais quel média ou faction nocive. Internet est donc un vecteur, mais il n'est qu'un outil, et un outil peut tout aussi bien servir à construire qu'à détruire... Tout dépend de l'angle sous lequel on se positionne.