Pensée du Dalaï-lama
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Re: Pensée du Dalaï-lama
giraudet : Le sujet est "Pensée du Dalaï-lama" - pas autre chose. Merci.
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MathieuMf- Grand Maitre Suprême
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Re: Pensée du Dalaï-lama
D'accord Mathieu mais enfin je ne suis pas non plus un psychorigide même si je n'ai pas toujours l'humour aéré d'un Dalaï-lama..
Re: Pensée du Dalaï-lama
ouai Giraudet, t'as fumé Mandarom ou quoi? Franchement on dirait les Inconnus là:
"Le silence est la plus haute forme de la pensée et c'est en développant en nous cette attention muette au jour que nous trouverons notre place dans l'absolu qui nous entoure."
.... Et vice et versa? Destitué ?
MDR
"Le silence est la plus haute forme de la pensée et c'est en développant en nous cette attention muette au jour que nous trouverons notre place dans l'absolu qui nous entoure."
.... Et vice et versa? Destitué ?
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ishto- Maitre Philosophe
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Re: Pensée du Dalaï-lama
Désolé ishto mais je n'arrive plus à te suivre et pour être franc le ton condescendant et un poil agressif et vulgaire que tu emploies ne m'incite guère à te répondre ..
« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
de Confucius
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« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
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Re: Pensée du Dalaï-lama
Merci de ne pas intervenir sur un fil pour en ridiculiser les écrits.Si ce fil ne vous intéresse pas, il suffit de passer à un autre ou encore mieux d'en ouvrir un mieux adaptés à votre souhait.
Isidor- Sage Confirmé
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Re: Pensée du Dalaï-lama
ok, ok, j'ai cédé à la tentation j'avoue, il est plus simple pour moi d'écrire à quelqu'un dont j'idéalise le personnage que m'adresser à la réalité inconnue toujours beaucoup plus nuancée. Je reprends en laissant au placard l'affront que je fait à mes propres démons:
En fait, si je pouvais revenir sur ce que je viens d'écrire, je poserais cette question: Le bouddhisme! Ok, pourquoi ne pas aller à fond dans la démarche de ce courant et accepter TOUS les animaux avec leur particularités, celles que l'on aime et celles que l'on aime pas? (j'inclue l'humain dans l'animal, ça, c'est sûr! Je n'aime pas la supériorité que l'on s'octroie secrètement en prétendant que NOUS pouvons sauver la planète et jeter tout un pan de l'humanité aux oubliettes)
En fait, si je pouvais revenir sur ce que je viens d'écrire, je poserais cette question: Le bouddhisme! Ok, pourquoi ne pas aller à fond dans la démarche de ce courant et accepter TOUS les animaux avec leur particularités, celles que l'on aime et celles que l'on aime pas? (j'inclue l'humain dans l'animal, ça, c'est sûr! Je n'aime pas la supériorité que l'on s'octroie secrètement en prétendant que NOUS pouvons sauver la planète et jeter tout un pan de l'humanité aux oubliettes)
ishto- Maitre Philosophe
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Re: Pensée du Dalaï-lama
La pensée du Dalaï-lama étant bouddhiste ,il est possible de faire un parallèle entre sa pensée et celle de David Hume , il y a en effet d'étonnantes similitudes entre ces deux pensées (La pensée du Bouddha et la pensée de David Hume)
Ainsi je propose ce petit exercice philosophique,mental écrit par Guy Karl :
DU SCEPTICISME : HUME
"Si nous prenons en main un volume de théologie ou de métaphysique scolastique, par exemple, demandons-nous : Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantité ou le nombre? Non. Contient-il des raisonnemnts expérimentaux sur des questions de fait ou d'existence? Non. Alors, mettez-y le feu, car il ne contient que sophismes et illusions". David Hume : Enquête sur l'entendement humain, conclusion.
Cette violence dans le ton est assez rare chez notre philosophe écossais qui se présente lui-même comme un bon caractère, d'humeur modérée et sociable. Il est vrai qu'il subit tout au long de sa vie les assauts réitérés des fanatiques de tout poil, enragés contre son scepticisme, pourtant souriant et plutôt débonnaire. Mais il fut intransigeant en matière de connaissance, déterminé à ne tenir pour vrai que ce qui pouvait se prévaloir d'une expérience sensible. D'où une méfiance envers des "idées" dont la plupart ne sont que les fruits d'affabulations confuses et controuvées. En toute production mentale demandons-nous quelles sont les impressions d'où dérivent nos représentations, l'impression étant seule incontestable.
"Par le terme impression j'entends donc toutes nos plus vives perceptions quand nous entendons, voyons, touchons, aimons, haïssons, désirons ou voulons." L'impression désigne donc aussi bien la perception des objets que les mouvements intérieurs de la sensibilité. C'est le domaine du sentir. Et chacun peut aisément faire en lui-même la distinction entre le sentir et le penser. D'où une règle souveraine : examiner si dans une idée quelconque je peux trouver un socle sensible à partir duquel l'idée s'est développée, dont elle dérive. On peut dès lors distinguer deux sortes d'idées : celle qui conserve quelque chose de l'impression initiale, même si elle s'est complexifiée ou amplifiée, et celle pour laquelle on ne trouve rien de tel. Alors on peut soupçonner celui qui parle de la sorte de s'égarer dans le brouillard, ou, pire encore, de poursuivre quelque trouble projet passionnel ou idéologique. Le scepticisme, c'est, conformément à l'étymologie, une position d'enquête (skeptikos, de skopein: observer comme dans radioscopie ou périscope), une méthode de discrimination, consistant à séparer le valide du non-valide, et, si possible, le vrai du faux. On comprend que le sceptique agace le dogmatique et l'idéologue. Il est cet empêcheur de rêver debout qui fait honneur à l'intelligence en révélant les troubles manigances des dévots, des prêcheurs et des boni-menteurs.
La question : "d'où dérive une idée" est la clé de la libération. Hume propose une méthode qui permette de retrouver le fondement sensoriel, perceptif, émotionnel qui seul offre une certaine garantie de "réalité". Qu'y a-t-il de plus réel que nos impressions, nous qui n'avons aucune science innée des choses du monde et de nous-mêmes? D'où pourrions-nous tirer la moindre connaissance si ce n'est de la disposition, fort imparfaite au demeurant, de nos organes et de notre cerveau? A défaut de connaître avec certitude, du moins saurons-nous quand nous délirons. Et nous délirons chaque fois que nous nous laissons aller à fabriquer de ces monstres logiques ou illogiques, comme on voit dans l'extravagance des passions et des fanatismes.
C'est ici que le scepticisme et l'empirisme se croisent : le sceptique humien découvre dans l'expérience sensible - comme jadis Epicure - un fondement, mais à la différence d'Epicure il n'affirmera pas que ce fondement soit vrai, il lui suffit de le tenir pour opératoire, de nature discriminante. Pourquoi? Parce que le moderne Hume ne se sent pas autorisé à tenir la perception pour un témoignage de vérité selon une conformité de nature entre l'homme et le monde. Je ne puis savoir si la perception est vraie en soi, mais je sais que toute autre approche est fantaisiste et illusoire. Vérité négative si l'on veut, à entendre non pas comme un déni de vérité, mais comme prudence : je sais ce que je sens, mais je ne puis savoir si ce que je sens est en adéquation parfaite avec ce qui est.
Mais, de ce qui est, comment pourrions-nous savoir ce qu'il est? Einstein dira que le scientifique est devant le monde comme devant une montre fermée que nul ne pourrait ouvrir. Je sais qu'il y a "un monde" mais de ce monde je n'ai que des impressions, dont je ne sais si elles sont du monde - ou de moi. Au moins je peux déclarer, et cela me guérit des fantaisies idéalistes, "il y a".
-------
Hume parle d'impression sans spécifier les contenus différentiels de cette expérience immédiate, vive et globale que nous faisons dans le "sentir" qui est pour nous évident par lui-même. Mais il est vrai que l'on pourrait distinguer les éléments constitutifs : la sensation proprement dite serait la modification d'un organe sensoriel au contact d'un stimulus : exemple, je touche mes dents avec la langue, il se produit une sensation de toucher, ou encore je me frotte les yeux j'ai la vision d'une couleur. Mais dans l'expérieest déjà une perception globale avec image et reconnaissance de l'objet stimulateur. Immédiatement je me représente un objet (perception) et la mémoire vient encore complexifier la chose, et tout le savoir appris et condensé ajoute encore des éléments. Si bien que l'élément exclusivement sensoriel est difficile à isoler, sauf en laboratoire, ce que font d'ailleurs les neurophysiologistes.
En conclusion je pense que Hume a raison de parler d'impression car cela correspond bien à l'expérience telle que nous la vivons.
Lien :http://guykarl.canalblog.com/archives/2013/05/31/27296832.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=guykarl
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Ainsi je propose ce petit exercice philosophique,mental écrit par Guy Karl :
DU SCEPTICISME : HUME
"Si nous prenons en main un volume de théologie ou de métaphysique scolastique, par exemple, demandons-nous : Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantité ou le nombre? Non. Contient-il des raisonnemnts expérimentaux sur des questions de fait ou d'existence? Non. Alors, mettez-y le feu, car il ne contient que sophismes et illusions". David Hume : Enquête sur l'entendement humain, conclusion.
Cette violence dans le ton est assez rare chez notre philosophe écossais qui se présente lui-même comme un bon caractère, d'humeur modérée et sociable. Il est vrai qu'il subit tout au long de sa vie les assauts réitérés des fanatiques de tout poil, enragés contre son scepticisme, pourtant souriant et plutôt débonnaire. Mais il fut intransigeant en matière de connaissance, déterminé à ne tenir pour vrai que ce qui pouvait se prévaloir d'une expérience sensible. D'où une méfiance envers des "idées" dont la plupart ne sont que les fruits d'affabulations confuses et controuvées. En toute production mentale demandons-nous quelles sont les impressions d'où dérivent nos représentations, l'impression étant seule incontestable.
"Par le terme impression j'entends donc toutes nos plus vives perceptions quand nous entendons, voyons, touchons, aimons, haïssons, désirons ou voulons." L'impression désigne donc aussi bien la perception des objets que les mouvements intérieurs de la sensibilité. C'est le domaine du sentir. Et chacun peut aisément faire en lui-même la distinction entre le sentir et le penser. D'où une règle souveraine : examiner si dans une idée quelconque je peux trouver un socle sensible à partir duquel l'idée s'est développée, dont elle dérive. On peut dès lors distinguer deux sortes d'idées : celle qui conserve quelque chose de l'impression initiale, même si elle s'est complexifiée ou amplifiée, et celle pour laquelle on ne trouve rien de tel. Alors on peut soupçonner celui qui parle de la sorte de s'égarer dans le brouillard, ou, pire encore, de poursuivre quelque trouble projet passionnel ou idéologique. Le scepticisme, c'est, conformément à l'étymologie, une position d'enquête (skeptikos, de skopein: observer comme dans radioscopie ou périscope), une méthode de discrimination, consistant à séparer le valide du non-valide, et, si possible, le vrai du faux. On comprend que le sceptique agace le dogmatique et l'idéologue. Il est cet empêcheur de rêver debout qui fait honneur à l'intelligence en révélant les troubles manigances des dévots, des prêcheurs et des boni-menteurs.
La question : "d'où dérive une idée" est la clé de la libération. Hume propose une méthode qui permette de retrouver le fondement sensoriel, perceptif, émotionnel qui seul offre une certaine garantie de "réalité". Qu'y a-t-il de plus réel que nos impressions, nous qui n'avons aucune science innée des choses du monde et de nous-mêmes? D'où pourrions-nous tirer la moindre connaissance si ce n'est de la disposition, fort imparfaite au demeurant, de nos organes et de notre cerveau? A défaut de connaître avec certitude, du moins saurons-nous quand nous délirons. Et nous délirons chaque fois que nous nous laissons aller à fabriquer de ces monstres logiques ou illogiques, comme on voit dans l'extravagance des passions et des fanatismes.
C'est ici que le scepticisme et l'empirisme se croisent : le sceptique humien découvre dans l'expérience sensible - comme jadis Epicure - un fondement, mais à la différence d'Epicure il n'affirmera pas que ce fondement soit vrai, il lui suffit de le tenir pour opératoire, de nature discriminante. Pourquoi? Parce que le moderne Hume ne se sent pas autorisé à tenir la perception pour un témoignage de vérité selon une conformité de nature entre l'homme et le monde. Je ne puis savoir si la perception est vraie en soi, mais je sais que toute autre approche est fantaisiste et illusoire. Vérité négative si l'on veut, à entendre non pas comme un déni de vérité, mais comme prudence : je sais ce que je sens, mais je ne puis savoir si ce que je sens est en adéquation parfaite avec ce qui est.
Mais, de ce qui est, comment pourrions-nous savoir ce qu'il est? Einstein dira que le scientifique est devant le monde comme devant une montre fermée que nul ne pourrait ouvrir. Je sais qu'il y a "un monde" mais de ce monde je n'ai que des impressions, dont je ne sais si elles sont du monde - ou de moi. Au moins je peux déclarer, et cela me guérit des fantaisies idéalistes, "il y a".
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Hume parle d'impression sans spécifier les contenus différentiels de cette expérience immédiate, vive et globale que nous faisons dans le "sentir" qui est pour nous évident par lui-même. Mais il est vrai que l'on pourrait distinguer les éléments constitutifs : la sensation proprement dite serait la modification d'un organe sensoriel au contact d'un stimulus : exemple, je touche mes dents avec la langue, il se produit une sensation de toucher, ou encore je me frotte les yeux j'ai la vision d'une couleur. Mais dans l'expérieest déjà une perception globale avec image et reconnaissance de l'objet stimulateur. Immédiatement je me représente un objet (perception) et la mémoire vient encore complexifier la chose, et tout le savoir appris et condensé ajoute encore des éléments. Si bien que l'élément exclusivement sensoriel est difficile à isoler, sauf en laboratoire, ce que font d'ailleurs les neurophysiologistes.
En conclusion je pense que Hume a raison de parler d'impression car cela correspond bien à l'expérience telle que nous la vivons.
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Re: Pensée du Dalaï-lama
Bref, rien de pire danger que les mots, et selon moi tu t'y perds!
Ils sont fait pour communiquer dans la mesure où l'on reste attentif à leur traduction de nous, indéfectiblement limitée.
Ils sont fait pour communiquer dans la mesure où l'on reste attentif à leur traduction de nous, indéfectiblement limitée.
ishto- Maitre Philosophe
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Re: Pensée du Dalaï-lama
Une nouvelle pensée récente du Dalaï-lama :
Le Dalaï Lama est intervenu au sommet environnemental de Portland le 9 mai 2013. A la 36ème minute de son intervention, il évoque les visiteurs d’autres galaxies :
«Même si nous obtenons des visiteurs d’autres galaxies, ils ne sont pas différents des humains. Peut-être qu’ils ont d’autres formes? Mais fondamentalement, ils ne sont pas différents de nous. Eux aussi sont des êtres sensibles. Respectez-les! Regardez-les et considérer les comme des êtres vivants. Nous pourrions, par exemple, leur serrer la main, à condition bien sûr qu’ils aient quelque chose comme des mains ! « Si nous rigidifions notre attitude parce que quelqu’un est d’ailleurs, nous sommes directement soupçonneux et toujours sur nos gardes ce qui mène juste à plus de soucis et d’anxiété.«
Pour mémoire, le 10 septembre 2012, il avait déclaré : » je suis de plus en plus convaincu que le moment est venu de penser à de nouveaux moyens d’envisager la spiritualité et l’éthique au-delà des religions. »
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Le Dalaï Lama est intervenu au sommet environnemental de Portland le 9 mai 2013. A la 36ème minute de son intervention, il évoque les visiteurs d’autres galaxies :
«Même si nous obtenons des visiteurs d’autres galaxies, ils ne sont pas différents des humains. Peut-être qu’ils ont d’autres formes? Mais fondamentalement, ils ne sont pas différents de nous. Eux aussi sont des êtres sensibles. Respectez-les! Regardez-les et considérer les comme des êtres vivants. Nous pourrions, par exemple, leur serrer la main, à condition bien sûr qu’ils aient quelque chose comme des mains ! « Si nous rigidifions notre attitude parce que quelqu’un est d’ailleurs, nous sommes directement soupçonneux et toujours sur nos gardes ce qui mène juste à plus de soucis et d’anxiété.«
Pour mémoire, le 10 septembre 2012, il avait déclaré : » je suis de plus en plus convaincu que le moment est venu de penser à de nouveaux moyens d’envisager la spiritualité et l’éthique au-delà des religions. »
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Re: Pensée du Dalaï-lama
Le Dalaï-lama se veut pacifiant et fédérateur, il assimile l'extra-terrestre à l'étranger, il fait un parallèle évident avec les rapports humains. Après tout c'est assez juste, sauf que dans ce cas c'est toute l'humanité qui serait impliquée dans un rapport à l'autre totalement inédit. Ferait-on preuve de xénophobie, de racisme ? Qui le sait. En outre il faudrait que ce soit réciproque, ce qui bien sûr ne peut être prouvé (pour le moment).
Invité- Invité
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