Comment punir la délinquance et limiter la récidive

Et bien voilà c'est cool.

Rien de mieux à rajouter que ce qu'un simple smiley évoque avec fulgurance:



Pour en revenir au sujet, non que j'ai quelque chose contre le verbe punir, celui-ci me semble tout de même limiter le champs de réflexion, chose à mon sens différente si l'on avait, par exemple, employé à sa place celui de résorber.

Pour moi, la délinquance en général, est ce qui exprime une des parties de l'humain qu'on ne maîtrise pas, d'ailleurs, on retrouve l'écho de cette impuissance du côté de(s) solution(s) pour y parer. Rien ne se perd rien ne secret, tout se transforme, l'effet de vases communicants est indéfectible, illusion de croire en revanche que les vases sont brisés et la communication rompue. Entre le vase et la vase, il n'y a qu'un pas, celui que nous avons franchi peut-être depuis longtemps avec l'impression d'être maintenant enlisés. Dans les sables mouvants, plus on s'escrime à en sortir, plus on s'enfonce rapidement, pour le temps à la réflexion d'une solution au problème, un premier temps serait d'arriver à trouver comment faire comprendre l'inéluctabilité que renferme cette métaphore. Oui, un répit prolongé serait de bonne augure pour permettre une recherche aussi concrète que constructive. Mais comment faire entendre cela? Car en attendant, lors d'une telle trêve, l'animal en soi, lui, n'attend pas et continue de fulminer d'autant que les conditions de vie internes et externes restent peu ragoutantes et sont le moteur de sa revendication.